+ Le commencement
Je ne suis pas comme la légende le raconte. Après tout, les légendes extrapoles toujours les choses. Je suis née peu après la chute de l’empire romain en Grande-Bretagne. Le chaos régnait partout dans mon pays. Je suis la fille d’Uther Pendragon et d’Yfraine, en soit, une bâtarde. N’étant point un homme, je ne pouvais hériter du trône et mon père préféra me confier à un de ses vassals, Sir Hector, qui m’éleva comme son enfant adopté qui deviendra son successeur. Une prophétie m’était apparemment destinée, mais Sir Hector ni croyait pas alors je n’ai pas pu en apprendre plus. C’est grâce à lui que j’ai mes valeurs et mes capacités chevaleresque aujourd’hui. Ce sâge ne voulait pas que mon sexe soit un facteur déterminant mon avenir. Jour après jour, il me formait pour devenir plus forte que quiconque.Cet homme était simple et emplie de sagesse et bonne volonté.
Et puis il y a eu ce fameux jour où tous les chevaliers et seigneurs se sont rassemblés pour devenir le prochain roi. L’épreuve consistait à sortir une simple épée d’un rocher. Etant l’écquillère de Sir Keu, mon frère adoptif, je dû l’accompagner à ce rassemblement stupide. Tous les chevaliers se succédèrent l’un après l’autre mais tous faillirent. Puis vint mon tour, j’entendis des rires autour de moi, après tout, je n’étais qu’un gringalet pour eux, encore heureux qu’ils ne soient pas au courant de mon véritable genre. Sans aucune hésitation, ma main saisit cette épé si spéciale et d’un geste sec, la sortie de la pierre. Une lumière m'enroba et je me sentis nouvelle.
"Quiconque enlèvera cette épée de cette pierre est à l'origine né roi d'Angleterre "
L'inscription sur le manche de Caliburn était claire, net et précise: j’étais le nouveau roi d’Angleterre.
+ Le règne d’un roi
Un roi est celui qui tu le monde pour protéger son royaume. Un roi renonce à son humanité dès l’instant où son sacre commence. Un roi doit encaisser de lourde responsabilité. Mais j’avais confiance en moi, j’étais jeune, je n’avais que 15 ans et j’étais pleine d’un orgeuille nouveau, mais j’étais prête à accepter mon destin. Mes Chevaliers de la Table Ronde était mes amis les plus précieux et, nous participons à des quêtes et autre objectifs sacrés. J’ai arrêté de vieillir au moment ou Caliburn a touché mes doigts et que sa magie m’a pénétrée. J’ai donc été crainte comme sinistre ou bien même louée comme divine. J’ai toujours conduit mon armée comme il se devait, sans abandon ou déshonneur, seulement la victoire. Aucun ennemi ne pouvait s'opposer à nous. Après tout, il n'y avait pas de défaite pour un corps admiré comme un dragon sous forme humaine.
+ Le début de la fin
Il me fallait un héritier, ceux qui risquait d’être fort difficile. Alors Merlin, le sorcier du royaume vient m’aider et me permit d’obtenir des gamètes masculines. Mais ma demi-soeur, Morgane, me les vola et ainsi, engendra un enfin qui fut le mien. Cette jeune fille se nommait Mordred. J’étais au courant de ce vol et de la véritable identité de Mordred lorsque je l’ai faite entrer à la table ronde. Mais je lui ai donné une chance de nous rejoindre car elle avait toutes les caractéristiques pour être une des notre. Mais elle a revendiqué son droit à l’héritage et je lui ai refusé, pleine de haine envers son autre mère. Ceci marqua le début de ma fin.
Etant dans l’obligation de prendre femme, j’ai épousé Guenièvre, une fille de bonne famille qui était pour moi une bonne amie. Je n’étais pas aveugle, je voyais bien que Lancelot et elle s’aimaient d’un amour incommensurable. Mais malheureusement, même si Guenièvre était au courant de mon véritable sexe, en tant que reine, elle ne pouvait tromper le roi. Seul ma femme, mon père, Merlin et Sir Keur savait que je n’étais pas un homme. Imaginez vous la révolte que ceci aurait créé si mon peuple avait été au courant. Mes chevaliers, quant à eux, ne posaient guère de question tant que je représentait un bon roi pour eux. Mon armée était de plus en plus forte et combattait les invasions barbare avec brio. J’étais très fière d’eux, et je le suis encore. J’étais celle qui tuait le plus de personnes sur le champs de batailles et tous ces crimes ont reflétés une image négative et sans sentiments de ma personne. Pour mon peuple, le roi Arthur ne pouvait pas éprouver de sentiments, mais tout ceci, j’étais loin de l’ignorer.
+ La chute du Roi des Chevaliers
Peu à peu, des chevaliers très réputés quittèrent Camelot et nos rangs se firent de plus en plus petits. Je vis ceci comme quelque chose de normale et de naturel, comme la migration des oiseaux pour mieux revenir. A mes yeux, leurs départs étaient insignifiants. Que je sois trahir, abandonnées ou autre, je restais le roi.
Puis vint ma bataille final, ce fut encore une victoire, même si nos rangs s’étaient réduit j’ai réussis à instaurer une brève période de paix pour mon royaume qui était enfin devenu la terre dont j’avais rêvée. Malheureusement, cette paix ne durera pas. La relation entre Lancelot et Guenièvre fut révélée au grand jour par des opposants politiques. Guenièvre ne m’avait pas trahi, elle avait trahi le royaume, elle devait donc être exécutée. Cet acte nous brisa le coeur à Lancelot et à moi et créa une rancoeur sans pareil avec mon vieil ami.
Ma dernière bataille fut celle de Camlann, c’est ici que Mordred m’a assassinée. Le reste de ma vie, je ne m’en souviens pas.
+ Saber, l’Esprit Héroïque
Je suis devenue un Esprit Héroïque, un Servant en quête du Graal. Mon Master était Kiritsugu, un assassin et officieusement Irisviel une homonculus. Cette dernière est rapidement devenue une sorte d’amie tandis que Kiritsugu me décevait de plus en plus chaque jour. Les méthodes qu’il employait étaient peu conventionnelles. Comme lorsqu’il a organisé la mort du Servant Lancer. Mais je suis restée fidèle à ce maître si particulier. La guerre s’est soldée par la victoire d’un camp adverse, en soit ma première défaite. J’ai tenté de détruire le Graal sous l’ordre de mon maître appuyé par ses seaux de commandements. Mais j’ai failli et la moitié de la ville a pris feu. Et voilà que le Graal me laisse de nouveaux me faire invoquer...